Des dessins humoristiques, bien connus des informaticiens, ont circulé, il y a quelques années, en provenance d’Angleterre (sorry, j’ignore qui en est l’auteur pour lui en faire crédit).
Ces dessins sont tout à fait appropriés dans le cas de l’analyse de la DSN. Voici trois de ces dessins :
Faisons un peu preuve d’imagination :
Dans le dessin ‘Ce que l’analyste a schématisé’, remplaçons la planche en bois de la balançoire par le pneu figurant sur le troisième dessin. Ce pneu se trouve maintenant à l’horizontal.
Ajoutons sur ce pneu, un nombre important de rustines, des petites et des grosses.
Nous avons alors la représentation de la DSN imposée par le GIP-MDS, la SDDS et la MOA.
Les rustines sont les spécificités des divers organismes (au moins une rustine, de taille différente, par organisme).
On s’aperçoit facilement :
- que la balançoire parait opérationnelle, du moins en apparence
- qu’à la moindre perturbation, tout va s’écrouler
- que ce que le client avait réellement besoin était quelque chose de simple (et sans rustines)